Description: Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Normal 0 21 false false false FR X-NONE X-NONE MicrosoftInternetExplorer4 Odilon Barrot (1791-1873), président du Conseil.Longue L.A.S. juridique, Paris, 19 juillet 1828, à un commissaire. Il résume longuement le procès où il était déféré contre son ancien associé, M. Archias. Il revient sur l’amitié qu’il a eu avec lui pendant de longues années, de l’embauche dans son cabinet d’avocats et jusqu’à la confiance qui lui a donné pour régler un problème de comptabilité. C’est durant ce service qu’un différend est né entre les deux hommes en raison d’une promesse de paiement que Barrot aurait déclarée oralement à Archias, qui ne l’a pas reçue ensuite. La Cour déclare finalement que Archias ne possède pas de créance et est donc condamné aux dépens. Barrot évoque ensuite, postérieurement à la décision de justice, qu’Archias est venu le rencontrer à la Cour de cassation, pendant qu’il préparait une affaire, « …il s’assoit à mes côtés et après quelques mots échangés, il me dit à voix basse et avec une voix fort oppressante : M. Barrot, aussi vrai que je suis Archias, je vous poignarderai… ». C’est donc la raison de son courrier à ce commissaire, il fait connaître les intentions de meurtre d’Archias aux autorités compétentes. 4p grand in-4, TBE.Joint : L.A.S. de son père, Jean-André Barrot (1753-1845, député), Paris, 16 juillet 1806, à un conseiller d’Etat. Il revient sur une décision antérieure d’un cautionnement de 20 000 francs à l’encontre d’un collègue. Il souhaite désormais obtenir une audience parlementaire en raison d’un évènement malheureux survenu chez l’épouse de ce même collègue. 1p in-4, infimes rousseurs, TBE cependant. Joint : Billet A.S. de son frère, Ferdinand Barrot (1806-1883, ministre de l’Intérieur), Paris, 28 juillet 1849, « La liberté c’est l’ordre ». ½ p in-4, infimes rousseurs sur tranches légèrement abimées, TBE cependant. Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21 Normal 0 21
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